La guerre imposée avait débuté le 22 septembre 1980 par la violation du traité 1975 relatif à la frontière d’état et au bon voisinage signé en Algérie, et par l’invasion de l’espace aérien, terrestre et maritime de la république islamique d’Iran par le régime sioniste-Baasiste irakien. La population iranienne, sous le commandement de l’Imam Khomeiny (paix à son âme), s’est penchée sur une défense totale avec un esprit guerrier inimaginable face à cette agression inhumaine et barbare et avait ainsi réussi avec succès à son test de défense de l’islam et de la révolution islamique. Enfin, la résolution 598 contenant 10 articles du conseil de sécurité des nations unies ratifié en l’an 1987 afin de permettre un prompt cessez-le-feu, avait été adoptée le 18 juillet 1988 par la république islamique d’Iran.
Juste trois jours après l’adoption de la résolution par la république islamique d’Iran, le régime Baasiste irakien, dans la matinée du 22 juillet 1988, avait attaqué la région de Khorramshahr à trois reprises. Dans l’après-midi de cette même journée, il avait attaqué la région de Shat Ali près de Talaeiyah et le lendemain, il avait attaqué la région de Sumar avec l’utilisation massive des armes chimiques et des bombardements aériens. Ce régime a commandité l’attaque de la ville frontalière Oshnaviyeh, a détruit et tué les populations de 90 villages de la région de Sardasht, a organisé des violations dans les districts de Shalamcheh, de Pulno, de Jafir et d’Hamid. Il avait perpétré également des attaques contre la ville de Sar-e-Pul Zahab, la garnison d'Abu Zar etc.
Cette attitude fébrile et agité de la part de l’agresseur, était très similaire à l’incursion du début de la guerre. L’ennemi dans toutes les étapes de la guerre s’était retrouvé face à une résistance intrépide des soldats de l’islam et avait été contraint de battre en retraite après avoir subi de lourdes pertes.
Ces agressions étaient accompagnées du silence significatif de la compunauté internationale qui avait ratifié la résolution sur le cessez-le-feu, imaginant que la république islamique était en position de faiblesse, que la population était épuisée de résister et que l’armée n’avait plus la capacité et la motivation de se battre. Mais, la résistance héroïque des responsables, de la population et des forces armées a permis de préserver le système de ce nouveau défi. Ainsi, la guerre imposée s’était terminée par la victoire décisive de la république islamique d’Iran et la défaite du régime autocratique et de ses alliés internationaux.
L’organisation des hypocrites avec leur révolution idéologique, était sortie de l’islam et avait rejoint le marxisme. Après l’effondrement du bloc de l’Est, ils ont rejoint le libéralisme et le sionisme. Et ils sont aujourd’hui un groupe de mercenaires apatrides et sans identité engagés dans des activités de déstabilisation et d’espionnage pour le compte des étrangers.