L'Imam Khomeini (ra) déclarait : « Les soins infirmiers et les professions médicales étaient sacrés, pourvu qu'ils soient exercés dans le respect de leurs principes divins. »

L'Imam Khomeini (ra) déclarait : « Les soins infirmiers et les professions médicales étaient sacrés, pourvu qu'ils soient exercés dans le respect de leurs principes divins. »

Pour l'Imam, les métiers de la santé – qu'il s'agisse des soins infirmiers, de la médecine ou d'autres spécialités – revêtaient un caractère sacré dès lors que leurs dimensions spirituelles, ainsi que les devoirs et droits religieux qui y sont liés, étaient pleinement honorés.

Chaque année, cet idéal est symboliquement célébré en Iran lors de la Journée de l'infirmière, qui coïncide avec l’anniversaire de Hazrat Zeinab, fille de l’Imam Ali et petite-fille du saint Prophète (que la paix soit sur eux). Cette journée est également l'occasion de rendre hommage au courage et au dévouement des femmes iraniennes.

L'Imam insistait sur la nécessité pour les universités médicales d'élargir leurs champs de spécialisation, afin de répondre aux attentes à la fois matérielles et spirituelles des jeunes générations. Il encourageait professeurs, chercheurs et étudiants à relever les défis scientifiques et éthiques auxquels le monde musulman était confronté.

Convaincu de l'importance de l'autonomie, l'Imam aspirait à ce que le système universitaire devienne indépendant, en particulier dans les domaines technologiques et des sciences sociales. Son ambition était que ces institutions puissent offrir leurs compétences à l'ensemble du monde musulman et aux peuples opprimés.

Il mettait également en garde contre la dépendance éducative vis-à-vis de puissances étrangères, soulignant qu'un tel assujettissement aurait des répercussions néfastes et durables sur le développement national.

Pour lui, l'université devait incarner le progrès, élargir ses horizons et stimuler la recherche et l'innovation, tout en répondant aux besoins sociaux, scientifiques et moraux de la société. Il prônait en outre une collaboration étroite et fructueuse entre les universités et les séminaires religieux, afin que chacun puisse s'enrichir des expériences de l'autre.

Ces efforts persévérants ont porté leurs fruits : au fil des années, les universités et instituts de recherche iraniens ont gagné en reconnaissance internationale. Des progrès remarquables ont été accomplis dans les sciences humaines, les sciences sociales et la médecine, permettant à l'Iran d'interagir et de partager son expertise avec la communauté intellectuelle et universitaire mondiale.

Depuis la Révolution islamique de 1979, les avancées dans le domaine médical, en particulier, ont été considérables, marquant une étape significative dans l'histoire moderne du pays.

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