L’imam Khomeini avait souvent l’habitude d’écouter les sermons de la prière du vendredi. Après le sermon et la prière, nous nous rendions souvent chez lui pour prendre note des remarques concernant les sermons. Une fois, dans un sermon de vendredi, j’avais fait ses éloges et après j’avais réalisé que mon acte l’avait beaucoup contrarié et qu’il avait dit : « ces mots peuvent rendre orgueilleux. » Imaginez maintenant, l’imam, qui était au sommet du pouvoir et du leadership et qui veillait que rien ne l’affecte, ne se considérait pas comme infaillible.
Le magazine Hudhur, vol. 77, P. 212-213.