Le jour où il était prévu que l’imam se rende au Koweït, nous sommes allés ensemble avec de certains de nos compagnons à la frontière Irak-Koweït. Nos compagnons avaient traversé la frontière après avoir rempli les formalités, cependant à notre tour, ils nous avaient demandé d’attendre… il était clair que le gouvernement koweïtien avait compris que M. Mustafawi était l’imam Khomeini (lisez l’histoire du nom de famille de l’imam Khomeinidans l’obtention du visa ici !) Pour finir, ils nous avaient dit que nous n’avons pas la permission d’entrer au Koweït.
Nous étions alors revus à la frontière irakienne où nous avons été retenus pendant neuf heures de temps. Pour finir, l’imam Khomeini leur avait dit que le monde apprendra ce qu’ils font… et ils avaient pris peur et avaient fait rapidement le nécessaire pour qu’on entre en Irak. Quoi qu’il en soit, l’imam Khomeini était très fatigué et cela m’avait tellement infecté. Quand l’imam avait vu l’inquiétude sur mon visage, il avait dit : « il ne faut pas être triste, nous devons traverser ces difficultés afin de comprendre ce que nos compatriotes et nos jeunes endurent dans ces frontières… »
Cette nuit, ils nous avaient conduits dans un hôtel à Basra et l’imam Khomeini malgré toute cette fatigue s’était levé pour la prière après trois heures seulement de repos (lisez ici l’histoire du choix de paris par l’imam pour exil)
Rapporté de Hajj Ahmad Khomeini fils de l’imam Khomeini, extrait du livre Kawsar, vol. 1