Seyyed Hassan Khomeini a rappelé que l’espoir en Dieu est au cœur de la foi. Citant une invocation célèbre, il a expliqué que le désespoir est considéré comme l’un des plus grands péchés dans la tradition religieuse. « Mon Dieu, mon espoir en Toi ne sera jamais rompu », telle est la phrase clé qui résume cette conviction. Il a mis en garde contre l’esprit du libéralisme démocratique, qui, selon lui, affaiblit l’attente en Dieu et sape les fondements spirituels de la société.
La Corruption, un Fléau Paralysant :
Son excellence Hassan Khomeini a insisté sur le fait que la corruption, en particulier la corruption économique, est l’un des plus grands obstacles au progrès d’une société. « Rien ne paralyse une société autant que la corruption et l’illusion de la corruption », a-t-il déclaré. Il a appelé à une lutte sans relâche contre ce fléau, tout en veillant à ne pas tomber dans le piège du désespoir généralisé. Selon lui, la transparence est le premier principe pour combattre efficacement la corruption.
La Responsabilité de Créer l’Espoir :
Dans un message fort, Seyyed Hassan Khomeini a souligné que la plus grande responsabilité de chacun est de « créer de l’espoir ». Il a expliqué que le désespoir engendre la peur et la chute, tandis que l’espoir authentique repose sur des efforts humains soutenus par la confiance en Dieu. « Nous devons avancer avec nos propres efforts et confier à Dieu ce qui dépasse notre contrôle », a-t-il affirmé.
Un Appel à l’Unité et à la Vigilance :
En conclusion, son excellence Hassan Khomeini a rappelé l’importance de l’unité et de la vigilance face aux tentatives des ennemis de semer le doute et le découragement. Il a salué les efforts du pouvoir judiciaire dans la lutte contre la corruption et a appelé à une approche équilibrée, où les discours et les actions ne doivent pas être perçus comme une reconnaissance d’une corruption systématique.
Dans un élan de foi, il a conclu : « Le 12 Bahman, Dieu a uni les cœurs du peuple et a fait résonner un seul et même Allahu Akbar. Nous prions pour que cette grâce divine demeure préservée pour nous, si Dieu le veut. »
Ce discours, à la fois spirituel et pragmatique, rappelle que l’espoir et la lutte contre la corruption sont indissociables pour construire une société juste et résiliente.