Donner des cadeaux de fête aux enfants, une action que l’imam Khomeini (ra) appréciait

Donner des cadeaux de fête aux enfants, une action que l’imam Khomeini (ra) appréciait

Le 24 mars 1972, à une époque où l’imam Khomeini (ra) était en exil en Irak, dans une lettre adressée à son fils Hajj Ahmad, il avait insisté sur l’octroi des cadeaux de fête à la famille et avait même précisé le montant.

Portail Imam Khomeini (ra) : L’imam Khomeini (ra) dans une lettre adressée à son fils le feu Hajj Ahmad le 24 mars 1972, en plus d’insister sur le fait de donner des cadeaux de fête aux membres de la famille, avait aussi précisé le montant.

Le contenu de la lettre était comme suit :

Par Dieu,

24 mars,

Mon cher Ahmad,

J’espère par la grâce de Dieu que vous allez bien, quant à nous, nous rendons grâce à Allah ! J’espère aussi que vous priez également pour nous.

Par rapport aux cadeaux de fête, votre mère a proposé qu’on donne 10 dinars pour chaque enfant et elle m’a demandé de t’écrire à cette occasion. Au lieu de 10 dinars, donne à chacun 200 000 tomans. Veuillez donner à chacune des filles et à chaque membre de votre noble famille 200 000 tomans. Veuillez prendre cette somme de votre oncle ou de M. Lavasani. Qu’Allah veuille sur vous et vous accorde à tous la santé. Veuillez me saluer votre oncle. Je m’inquiète de sa solitude et j’espère qu’il est en bonne santé. À la prochaine !

Ton père,

Donne également 100 000 tomans à chère Khazan de la part de ta mère.

(Sahifeh Imam, vol. 2, P. 428)   

À propos des noms mentionnés dans cette lettre, M. Sayyd Ahmad Khomeini explique :

-          M. Lavasani, il s’agit de l’Ayatollah Hajj Sayyd Mohammad Sadiq Lavasani,

-          L’imam Khomeini (ra) considérait l’Ayatollah Pasandideh comme un père et il m’avait dit à plusieurs reprises que si ce n’était pas lui, il n’aurait pas pu poursuivre les études. Il le respectait beaucoup. Il le respectait à tel point que lorsqu’il était revenu de Paris et qu’il avait rencontré l’Ayatollah Pasandideh dans l’avion, il n’avait pas voulu sortir de l’avion avant lui. L’imam m’avait dit qu’il n’irait pas devant M. Pasandideh. La situation s’était mélangée. J’avais donc proposé que j’aille avec mon oncle dans le salon de l’aéroport puis que je revienne et reparte avec lui, ce qu’il avait accepté.

Chère Khazan, il s’agit de Mme Khazan Maluk, la mère de l’épouse de l’imam, que les enfants appelaient « chère Khazan » et l’imam l’appelait aussi par ce nom.

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