L'Imam Khomeini: "Jetez un œil sur les dirigeants de ces écoles : lorsque nous regardons le prophète qui a apporté cette école, comment était sa vie ; le commandeur des croyants qui est le calife loyal du prophète, regardez quelle vie il avait ? Ce fut un dirigeant [de l’Etat islamique] et son autorité s’étendait à sur une étendue très vaste, autant de de fois plus grand que l’Iran, à partir de la péninsule arabique jusqu’en Afrique, son autorité s’étendait partout. Pendant ce temps regarder comme il vivait, comment il passait sa journée, sa nuit comment il la passait, comment il vivait, quelle condition de vie il avait, comment était son adoration, comment était son adoration à l’égard de la population, comment il se comportait face aux déshérités. Il s’inquiétait que peut être je suis en train de manger un pain fait à base de farine de froment, j’ai peur que parfois une personne dans tel endroit, à Yamameh, quelque part, qu’il ait peu, qu’il ait peu de quoi manger. Tellement qu’ils mangeaient, ses dirigeants qui se jouent de vous, tellement ils mangeaient qu’ils en avaient l’indigestion ! Ce président, le dirigeant de la Chine, en ce moment où il entre en Iran, il passe à travers [les dépouilles] de nos morts ; c’est ça l’humanisme du leader de cette population ! Il passe à travers ces hommes et les dépouilles de nos morts. Il y a à peine quelque jours, il est venu en Iran, il est au courant de la situation. Le Shah n’a pas pu l’emmener dans les rues parce que les cris de la population que – mort un tel – ne le permettait pas. Il était lui-même aussi au courant de la situation. Ils l’ont pris en hélicoptère, l’ont emmené là où il devait le rester. Une telle personne qui prétendent que nous sommes tel communistes et nous sommes comme ça avec la population et nous sommes comme ça avec la masse populaire, il voit cette population se faire tuer en masse par cette personne, malgré cela, il vient et lui serre la main et invite aussi sa sœur ... là où il résidait auparavant et quoi encore.
Ils se jouent de vous messieurs ! Ces dirigeants communistes, lors de la guerre mondiale[1] en fait moi je m’en souviens – peut être que vous ne vous en souvenait pas – je me souviens que les alliés, lorsque leurs dirigeants (présidents) sont venus en Iran, Churchill s’est rendu là-bas avec sa voiture, et Roosevelt aussi est venu d’une façon normale ; cependant Staline à partir de là où on l’avait transporté, il a également emmené sa vache que peut être qu’il [ait] besoin de boire du lait que-cela créé un problème ! Même sa vache a été emmenée avec lui ! Vue que j’ai moi-même vue cela ; c’est une rumeur qui s’était répandue à c’est époque qu’ils ont apporté aussi leurs vache. J’ai moi-même vue cela que son armée, c’est-à-dire les forces qu’ils avaient envoyaient, leurs armée – aux environs de la route de Khorasan jusqu’à celle de Khorasan et aux alentours des soviétiques – j’ai moi-même dans la route de Khorasan que pour un cigare, ils venaient et mendiaient. Pendant ce temps, [à] « Qardash », on disait d’eux, des frères ! Des frères ! Quelle fraternité ? Un frère qui veut que-cet école, ces pauvres [personnes] s’endorment et les pillent.
C’est le communisme qui est un opium et non le Coran. Le Coran dont tous les dirigeants avec qui il s’est battu étaient des injustes et la vie du guide de l’Islam lui-même, est une vie juste qui est inférieur à celle de la population, qu’il ait une vie juste sans la population. C’est-ce qui une école, et non cet école qui emmène avec lui sa vache ; il consomme le lait de la vache et veut [aussi] engloutir la population et son injustice est plus que les autres. Il lançait un boulier-compteur ! Monsieur Lénine … a déclaré qu’ils lançaient un boulier-compteur que … une personne après une autre, tout celui qui obtenait une quantité selon à la mesure de ses dépense, il avait droit à la vie ; et tout celui qui a des déficits tuez le ! Jetez-le à la mer ! C’est ça sa théorie ; c’est ça l’humanisme ! Que-ce qu’il y a dans cet école pour qu’elle attende [beaucoup plus] des faibles que des riches, de ces pauvres personnes – ceux qui ne peuvent pas travailler – qu’elle attende plus que leurs capacités, qu’elle attende d’eux plus que les nobles. Ils veulent les diriger, [alors] qu’ils leurs donnent l’argent de la caisse de l’état et qu’ils les dirigent."
Ruhollah al-Musawi al-Khomeini
vous trouverez ici le texte complet de Sahife Imam Khomeini
[1] La deuxième guerre mondiale, dans l’année 1320 de l’hégire lunaire (année 1941 du calendrier grégorien)