L’étude de l’histoire du mouvement de l’imam Khomeini et de la révolution islamique, montre que l’imam Khomeini, non seulement n’était pas contre le fait que la femme soit active dans la société, mais il les encourageait également dans la pensée et la manière à défendre et à affirmer leurs droits ainsi qu’à être présente sur la scène, ce qui a poussé une femme croyante et combattante telle que la regrettée Marzieh Dabbagh à être présente sur le champ de bataille et à accompagner le mouvement de l’imam des prisons infernales de shah au cercle rapproché des compagnons de l’imam à Paris. L’imam Khomeini (ra) sur la base des enseignements islamiques défendait et soutenait les droits des femmes. L’opinion qu’il se faisait de la femme était du point de vue coranique et de la sunna. Il avait permis à ce que les femmes croyantes et averties iraniennes jouent un rôle important et capital pendant le mouvement et aussi après la victoire de la révolution islamique.
Cependant, lors des première et deuxième étapes du mouvement de l’imam Khomeini, deux questions avaient été soulevées, celle de la « la réforme agraire » et celle du « droit de vote des femmes ». Le régime de shah se faisait passer pour le partisan et défenseur des cultivateurs et des femmes et présentait les savants religieux comme leurs opposants et leurs ennemis.
Un examen détaillé des déclarations et des documents respectifs demande plus de temps. Cependant, la vision de l’imam Khomeini (ra) qui était connu comme l’avant-garde et le porte-parole du mouvement, des clergés et de la nation est le signe de sa pensée progressiste et de la contradiction des propos du gouvernement autoritaire et répressif.
L’imam Khomeini (ra) dans la pensée et la théorie ainsi que dans sa vision jurisprudentielle n’était pas contre le principe de réforme agraire ni contre le droit de vote des femmes. Ses objections étaient en rapport avec la tromperie et les outils de réforme qui avaient été copiés des États-Unis. Dans un acte passif, ils voulaient préserver l’Iran de la révolution communiste et socialiste afin qu’il reste dans le camp des impérialistes et ne rejoigne pas le camp des communistes.
L’étude de l’histoire du mouvement de l’imam Khomeini (ra) et de la révolution islamique montre que dès le début, les femmes en quête de liberté réelle et les femmes croyantes avaient participé à la lutte contre l’arrogance, la colonisation et contre le gouvernement oppressif aux côtés des hommes combattants et en quête de liberté véritable. Elles avaient aussi porté le fardeau de la lutte. Il est clair que non seulement l’imam ne s’était pas opposé à leur présence sur le champ de bataille, mais il les avait également encouragées dans la pensée et la manière à défendre et à affirmer leurs droits, de sorte qu’une femme croyante et combattante telle que la feue Marzieh Dabbagh s’était présentée sur le champ de bataille et avait accompagné le mouvement de l’imam des prisons infernales de shah au cercle rapproché des compagnons de l’imam à Paris.