À Paris, nous voulions mettre des journaux à l’entrée de la pièce où l’imam Khomeini enlevait ses chaussures, car le sol la plupart du temps était mouillé et humide en raison de la pluie. Un jour, un groupe d’iranien avait apporté des journaux, et moi j’avais mis des pages publicitaires de ces journaux sur le sol et sur lesquelles j’avais placé les chaussures de l’imam Khomeini (paix à son âme). Lorsqu’il avait voulu porter ses chaussures, il avait demandé : « il me semble que ce sont des presses iraniennes !?? » J’avais répondu : « Oui Monsieur, cependant se sont des pages publicitaires. » Malgré cela, l’imam n’avait pas posé ses pieds sur ces presses et avait dit : « peut-être que le nom de MOHAMMAD ou d’ALI est dedans !! »
Extrait du livre, les impressions sur la vie de l’imam Khomeini (paix à son âme), vol. 2, P. 386-387