Les responsables japonais ont déclaré qu'ils n'acceptaient pas les preuves des États-Unis selon les quelles l'Iran est derrières les attaques de pétroliers en mer d'Oman. Ils estiment que ces documents ne suffisent pas et que l’Iran ne devrait pas en être accusé.
L’agence de presse japonaise, Kyodo, citant des responsables gouvernementaux bien informés rapporte que le gouvernement du Japon a demandé aux États-Unis de faire plus de recherches à cet égard, car la vidéo diffusée à la faible résolution ne révèle et prouve rien.
Une source gouvernementale japonaise a déclaré à Kyodo que le gouvernement américain n'avait pas encore convaincu le gouvernement japonais et croit que ces documents ne sont que des spéculations.
Le premier ministre japonais, Abé Shinzo, a déclaré que même si, les Etats-Unis ont une telle allégation, «nous ne pouvons pas l'accepter».
Irna