L’Imam Khomeiny (paix à son âme) a placé toutes les distinctions acquises par les forces armées sous l’ombre de la foi, de l’union et de la coordination. Il a porté l’accent sur sa préservation et son renforcement.
L’Imam Khomeiny (paix à son âme), dans un message publié le 17 avril 1989, adressé à la nation iranienne et aux forces armées, a glorifié l’armée de la République islamique. Dans une partie de ce massage, il apparaît :
« Grâce à Dieu, la force navale tout comme les autres forces dans l’arène de la Défense Sainte, sur les eaux du golfe persique et des frontières maritimes du pays, est comme le chaton brillant d’une bague et est placé solidement sur le pont du navire avec honneur et rigidité. Leurs confrontations avec la force navale de l’ennemi ainsi que toutes ces distinctions de guerrier, du courage, et du martyr et aussi le contrôle et la surveillance des navires dans le golfe persique et le détroit d’Ormuz et plus important que tout, leurs batailles héroïques contre les États-Unis agresseur et leurs présences énergiques dans les eaux internationales, sont les signes de la puissance et de la crédibilité de cette grande force. La nation iranienne doit être fière d’une telle armée pieuse et fidèle. La grande armée iranienne doit savoir que toutes ces distinctions sont le fruit de la foi en Dieu et de la défense du pays de l’Imam du Temps dans l’ombre de l’union, la cohérence, la fraternité et du soutien de la population. Pour arriver au sommet de cette gloire et de cette solennité islamique, d’énormes capitaux et de nombreux valeureux soldats ont été sacrifiés sur la voie de Dieu. Cet esprit et cette politique à savoir la foi, l’union et la coordination doivent être préservés et renforcés jusqu’au bout. Les forces de l’armée y compris les militaires de l’armé et ceux du Corps des gardiens doivent travailler ensemble pour construire, développer et renforcer le pouvoir de défense de l’islam et du pays.
Je vais soutenir jusqu’au bout l’armée, le Corps des gardiens et les forces de mobilisation de la résistance et je considère comme ‘interdit’ ce qui les affaiblit. »
Sahifeh-ye- Imam, vol. 21, p. 357.