L’apathie du cinéma iranien face à l’affection et l’amour de l’imam Khomeiny (paix à son âme).

L’apathie du cinéma iranien face à l’affection de l’Imam Khomeiny (paix à son âme).

Le film controversé du cinéma iranien concernant l’Imam Khomeiny.

Bien que notre cinéma soit redevable face à la bienveillance sans ménagement de l’Imam Khomeiny (paix à son âme), jusqu’aujourd’hui un pas approprié n’a pas encore été marqué afin de répondre à cette bienveillance. Alors qu’à l’époque, l’Imam (paix à son âme), pour préserver le cinéma et empêcher les gravités abusives dans la télévision, entrait en action profitant de sa position et de son statut de guide de la révolution et c’était grâce à lui que le cinéma et la télévision ont parvenus à poursuivre leurs activités. Malheureusement le milieu cinématique jusqu’aujourd’hui n’a pas encore pu présenter une image précise et complète de la vie, des combats et des pensées profondes de l’Imam Khomeiny (paix à son âme), alors que la production des films biographiques figure parmi les genres cinématographiques les plus populaires. Toutes les années nous sommes témoins des films qui sortent à cet égard, pendant que concernant la personnalité de l’architecte de la révolution islamique, rien n’a presque été fait. Alors que la personnalité de l’Imam sans aucun doute est supérieure à celle des individus comme Abraham Lincoln, Margaret Thatcher, Aung San Suu Kyi, Gandhi, Hitler et…

L’œuvre cinématique la plus importante qui a été conçue en hommage à l’Imam Khomeiny (paix à âme) est "l’enfant du matin" de Behrouz Afkhami. Un film où Abdul-reza Akbari joue le rôle de l’Imam Khomeiny (paix à son âme) et Mohammad Reza Sharifinia celui de Hajj Ahmad Khomeiny. Bien que quelques années se soient écoulées depuis la réalisation de ce film, ce film n’a pas encore mis à la disposition du public. En 2012, le cinéaste Manouchehr Mohammadi, a déclaré qu’il avait l’intention de produire un film sur la vie de l’Imam Khomeiny. Il était prévu que ce film soit réalisé avec la participation de la fondation cinématographique Surah. Cependant, après près d’un an, aucune information concernant ce projet ou concernant la pré-production de ce film n’a encore été publiée. Il semble qu’en dépit de ce que le cinéma doit à l’Imam (paix à son âme) et à sa voie, il n’a pas encore pu, jusqu’à maintenant, marquer le moindre petit pas pour compenser cettedette.                    

 

                  

 

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