L’Imam Khomeiny (paix à son âme) a nommé le drame de la journée du 8 septembre comme faisant partir des jours de Dieu et chaque fois il recommandait à la nation iranienne de toujours se souvenir de ce drame sanglant et de toujours se rappeler des sacrifiés de la nation iranienne de ce jour.
« Le 8 septembre fait partir des jours de Dieu, vous devez vous souvenir de ça. Vous devez vous rappeler ce jour de Dieu. Ces jours de Dieu ne doivent pas être oubliés car (…) ce sont les jours de Dieu qui gardent notre nation en éveille. Il dit : "Rappelle-leur les jours de Dieu". » (Sahifeh-ye Imam, vol. 9, p. 466 ; vol. 13, p. 187).
Au fait, la loi martiale était la seule excuse que Shah pouvait servir afin de massacrer la population. La population, qui manifestait tranquillement et qui présentait simplement leurs doléances à travers des slogans, ont été massacrée avec des armes de guerre par Shah et par les soi-disant défenseurs des droits de l’homme. L’Imam Khomeiny (paix à son âme) a qualifié la loi martiale de crime et celui qui l’avait décrétée de criminel.
« Shah en décrétant la loi martiale à Téhéran et dans d’autres grandes villes d’Iran, a démontré une fois encore qu’il n’a pas de soutien au sein de la nation. Décréter la loi martiale dans un environnement paisible – d’après les aveux de la radio et des presses iraniennes, la marche s’était déroulée dans un calme total – n’est non seulement légal, mais celui qui la décrète est un criminel. Le Shah pour massacrer la population sans défense et opprimée n’a trouvé rien de meilleur que la loi martiale… » (Sahifeh-ye Imam, vol .3, p. 461).
Après ce drame, l’Imam s’adressant aux savants et aux politiciens, leur a demandé de ne craindre aucune puissance et de renforcer plus les rangs de combat avec assurance et un espoir double. (Sahifeh-ye Imam, vol. 3, p. 461).