L’erreur de tous les musulmans

Dans cette vidéo, L'imam Khomeini (ra) considère que l'erreur commise par les musulmans et les pays arabes est d'avoir accordé un délai à Israël et de ne pas l'avoir stoppé dès le début. Il affirme que malgré ses avertissements depuis 20 ans, les intérêts personnels des États ont prévalu sur l'unité contre Israël. Il met en garde contre la menace que représente Israël pour tous les États islamiques si on lui laisse le temps. Il appelle à l'unité des musulmans contre les oppresseurs, en pointant du doigt l'Amérique et Israël comme principaux coupables.

« Les ennemis profitent des disputes entre musulmans », a déclaré l'imam Khomeini (ra)

L'imam Khomeini a souligné que dans le monde islamique actuel, nous observons également que les ennemis au mouvement islamique profitent des disputes entre musulmans.

La puissance de la fraternité islamique

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Relations pacifiques universelles

Étude comparative du concept de sécurité dans la pensée politique moderne occidentale et sa ...

Mots-clés : Imam Khomeini (paix sur lui), sécurité, pensée politique, Occident Auteur : Seyed Reza Shakeri Université : Institut de recherche en sciences humaines et études culturelles, Centre de recherche en sciences et pensée politique

Les Clés du Véritable Bonheur

La biographie de l'épouse de l'Imam Khomeini

Madame Khadijeh Saqafi (surnommée "la Sainte d'Iran") est née en 1914 à Téhéran. Son père, feu l'Ayatollah Mirza Mohammad Saqafi, était un disciple de l'Ayatollah Haeri Yazdi et un religieux progressiste à Téhéran. Son grand-père, Mirza Abolfazl Tehrani, était l'auteur du célèbre commentaire du Ziyarat Ashura intitulé "Shafa al-Sudur" et était considéré comme un génie de son époque. Le père de Mirza Abolfazl Tehrani, feu Abolghasem Kalantar, était un juriste à Téhéran. Du côté maternel, Mme Saqafi avait des liens avec les familles Qajar. Son grand-père maternel était Haj Mirza Gholamhossein, trésorier et comptable du trésor qu'on appelait "Khazen al-Mamalek". Le père de sa grand-mère maternelle était Haj Mirza Hedayat qui était appelé "Nazem Kholvat" (ministre de la cour) sous les Qajars. Quand le choix des noms de famille est devenu courant sous Reza Shah, il a choisi le nom "Nazem Kholvati".