Les célébrations, qui coïncidaient avec le début des célébrations du Nouvel An cette année se sont déroulées dans différentes villes : Mumbai en Inde, Kuala Lumpur en Malaisie, Islamabad au Pakistan, Bagdad en Irak, Kaboul en Afghanistan, Damas en Syrie, Sarajevo en Bosnie, Beyrouth au Liban, Copenhague au Danemark, à Vienne en Autriche et à Stockholm en Suède. Des cérémonies similaires ont eu également lieu en Suède.
Les intervenants, faisant référence, lors des cérémonies, aux sacrifices et à la bravoure du très haut général Soleimani, ont réaffirmé que ce martyr a rendu « un grand service » à la région et à l'humanité par son combat contre Daech et en neutralisant ce groupe terroriste soutenu par les puissances occidentales.
Le haut commandant Soleimani a été tué en martyr dans une lâche frappe américaine. Cette attaque a également coûté la vie au commandant en chef adjoint des Hachd al-Chaabi (Force irakienne de la Mobilisation populaire), Abou Mahdi Mohandis.
Dans un communiqué le Pentagone revendique le crime affirmant que « l’ordre de l’assassinat est venu de la personne de président américain ».
Une foule immense a participé en Iran aux funérailles du très vénéré général.
Les prêtres et missionnaires chrétiens en Syrie, en Irak et au Liban ont reconnu à plusieurs reprises le rôle de Qassem Soleimani pour la dignité de la minorité chrétienne dans ces pays et la protection de leurs lieux de culte, et ont noté que c'était Hajj Qassem qui a initié la Résistance chrétienne irakienne.
Bien sûr, la défense des minorités par Qassem Soleimani ne se limite pas aux chrétiens. La défense d'Erbil, la capitale de la région autonome du Kurdistan irakien, contre les terroristes daechistes , qui est considérée comme l'une des épopées du brave général martyr, reste à jamais gravée dans la mémoire historique du peuple kurde. La même estime et le même amour à l’égard de Qassem Soleimani peuvent être observés chez les Yézidis d'Irak, victimes de la machine génocidaire de Daech.