La dame Zahra Ashraaqi, l’une des descendantes de l’imam Khomeini, parle de l’angoisse que ressentait et exprimait l’imam Khomeini pour eux et aussi de l’attention particulière qu’il portait aux enfants, ainsi :
Si un, deux jours passaient sans que nous nous rendions chez l’imam Khomeini, le jour qu’on venait, il nous disait : « Où étiez-vous ? Me connaissiez-vous vraiment ? » Autrement dit, Il était tellement observateur. Parfois, j’amenais ma propre fille, Fatimeh. Un jour, je suis arrivé et j’avais vu l’imam dans la cours en train de marcher. Dès que je l’avais salué, il avait dit : « Où est ton enfant !? » J’avais répondu : « Je ne l’ai pas amené, elle dérange. » Il avait été si bouleversé au point qu’il avait dit : « Si cette fois tu veux venir sans Fatimeh, alors tu ne devrais pas toi-même venir. » Il était tellement sensible. Je disais : « Monsieur, pourquoi aimez-vous autant les enfants ? Vous les aimez parce qu’ils sont nos enfants ? Il répondait :
« Non, j’aime beaucoup les enfants. Parfois, quand je parle, je vois un enfant pleurer ou un enfant entraine de bouger la main, je le distrais. »
Extrait du livre, les impressions sur la vie de l’imam Khomeini (paix à son âme), vol. 1, P. 13, 8ième édition (1392), Orouj
la relation de l’imam Khomeini avec les enfants