Le chant de la bonne nouvelle
Habillé en froc, j'ai bu au seuil de la taverne
Pour perdre la conscience, tout étant ému
Notre Cheikh, il ne sait pas guérir notre peine
Il me faut porter plainte auprès du tavernier
Personne n'était informée, ni le savant, ni le mystique
Dès lors, ce n'était que le vieux silencieux sur qui je comptais
À savant de s'occuper à son domaine, au Soufi de se retirer
Nous, on s'occupe à la Rue de l'Amour sans foyer
J'ai abandonné l'école comme la taverne
Pour me loger à sa Rue en tant que son esclave
Ferme tes oreilles sur les cris des Soufi et derviche
Ainsi, le chant de la bonne nouvelle proviendrait de la rue d'Amour
Poésie de l'Imam Khomeiny