La nouvelle-mariée du matin
La nuit où tu te couches à côté de moi comme la nouvelle-mariée
Hélas ! Ne refuse pas à moi tes bras et bisous
Ô nuit, embrasse fortement cette nouvelle-mariée
Cette nuit, elle s'endort entre mes bras
Moi je n'enlève pas mes lèvres mis sur sa bouche
Même si j'entends le chant du coq, le cor du départ
Ô Dieu, ferme au Soleil la porte du jour
Que le muezzin reste endormi, soit mort le coq
Cette nuit où tu fais la bonne grâce d'être avec moi
Cela suffirait à mon bonheur du reste de ma vie
Je ne serais pas libertin si je voulais voir le matin
Même si l'on m'offrait le trône de Salomon
Pour découvrir Ta rue, "Hindi" a parcouru le chemin depuis les Inde
Comment saurais-il être attaché à Chiraz ou à Tous
Poésie de l'Imam Khomeiny