Pour moi, son recueil est comme le recueil poétique Mathnawi
Non seulement j’accorde un respect particulier à l’Imam Khomeini, mais j’éprouve également une grande affection pour lui. Après que son recueil de poèmes a été publié en Iran par l’institut chargé de compiler et de publier ses œuvres et que cela a été offert à la maison de la culture de l’Inde, je l’ai vu et lu plusieurs fois. Je porte à son recueil la même affection que je porte au recueil de Mawlana. Pour moi, il est au même rang que le grand Mathnawi. Pour moi, il a de l’avance sur Iqbal Lahouri. Les paroles d’Iqbal ont trouvé un rythme trop doux sous la pression de la domination anglaise. Mais, l’Imam Khomeini n’avait peur de personne et aucune puissance n’a réussi à adoucir ni à ramollir le son et le ton de son mouvement, de son discours et de ses paroles. L’Imam volait au-dessus des nuages et était dans une autre dimension. Selon moi, il a commencé son mouvement au-dessus des nuages et son point culminant était très élevé et atteignait le bout du septième ciel (Sidrat al-Muntaha), lieu où l’ange Gabriel s’était entretenu avec le Prophète (saw). Ce point culminant peut être vu dans les paroles, les poèmes et les odes de l’Imam Khomeini (paix à son âme).
Jaafary, Sayyed Mohammad Yuness, Professeur de littérature de l’université de l’Inde.
Points de vue sur l'Imam Khomeini