Pour sa part, Cornel Feruta a éclaré que l'AIEA ne se laisse pas emporter par les pressions et qu’elle poursuivrait son approche « indépendante », « impartiale » et « professionnelle », ce qui renforcerait l'autorité et la « crédibilité » de l’agence viennoise.
« L'Agence souhaite vivement continuer à coopérer avec l'Iran et nous sommes prêts à poursuivre notre travail professionnel et impartial. Dans nos fonctions, nous ne laissons pas emporter par les pressions », a précisé Cornel Feruta.
Le PGAC n’est pas une route à sens unique et cet accord multilatéral était censée être une voie à double sens: la République islamique d’Iran prendra certainement les décisions appropriées au bon moment, comme elle l’a déjà fait en trois étapes (dans le cadre de son plan de la réduction graduelles des engagements liés au PGAC).
Déclarant que la visite du directeur général par intérim de l’AIEA en Iran dans la conjointure actuelle tombe bien, Ali Akbar Salehi a déclaré : « Lors de la rencontre d'aujourd'hui, nous avons eu des discussions très approfondies entre nous et examiné les activités et les collaborations que nous avons eues jusqu'à présent avec l'Agence »