« Les conversations téléphoniques entre les présidents iranien et français, et les ministres des Affaires étrangères des deux pays, à maintes reprises à des intervalles de temps variés, l’échange des nouveaux ambassadeurs des deux pays, ainsi que les échanges de délégations politique (Emmanuel Bonne), parlementaire (Marielle de Sarnez et Anne Genetet), et le voyage de Seyed Abbas Araghtchi à Paris au cours des derniers jours en tant qu'envoyé spécial de Hassan Rohani pour rencontrer Emmanuel Macron et la remise du message écrit du président iranien ; tous ces éléments indiquent que la compréhension et l’interaction croissante entre les deux pays, hautement historiques, qui bénéficient d’un long passé et de nombreux points communs ; peut apporter aux moments opportuns et lors de l’apparition des perturbations et des désordres sur les scènes régionales et internationales, des acquis et des avantages pour les deux pays, à l’échelle bilatérale et multilatérale, dans le cadre d’une interactivité dans les deux sens et dans un environnement approprié », a-t-il écrit sur le compte officiel de Twitter de l’ambassade iranien.
Bahram Ghassemi ajoute ensuite que les efforts des hommes politiques (Hassan Rohani et Emmanuel Macron); considérant le type de relation, la compréhension mutuelle, la connaissance réciproque, et la manière dont les deux pays interagissent sur la base de tous les points de vue et l’utilisation de la fenêtre ouverte de la diplomatie; ont pour objectif de renforcer : un monde multipolaire, le multilatéralisme, la paix, la stabilité et la sécurité; qui sont au centre de l'attention du monde (et des partisans de la paix).
« Ce qui accroit le poids, la validité et l’importance de tels contacts; n’est autre que l'utilisation optimale et opportune du passé des relations et d’une diplomatie active et efficace, en vue de guider et de donner une direction aux efforts de tous, pour bâtir un monde meilleur et supérieur au monde turbulent d'aujourd'hui », a-t-il tweeté.
« Voilà, une mission lourde, mais réalisable pour réduire les tensions qui résultent des politiques unilatérales de ceux qui manquent de sagesse, des marchands d’armes, des partisans de la violence, des va-t-en-guerre qui soutiennent diverses formes de terrorisme », a ajouté M. Ghassemi.
Isna