Paye sa diyya
Sur le trajet de l’aéroport jusqu’au cimetière Behesht-e-Zahra, le premier obstacle que nous avons rencontré, était à la place Azadi (liberté). Là-bas, l’affluence de la foule était dans la proportion où les roues de la voiture ne touchaient plus le sol et que moi je n’avais plus le contrôle. Lorsque la voiture a été déposée au sol, sous l’effet de la pression de la foule, le pied d’un des participants est allé sous la voiture et s’est cassé. L’Imam, apprenant cela, m’a chargé après de payer la diyya de cet homme, ce qu’il a d’ailleurs refusé d’accepter.
Mémoires sur l'Imam Khomeini