L’Imam était très émotionnel. En guise d’exemple, lorsqu’il était à Najaf et que parfois mes sœurs venaient là-bas, et voulaient s’en aller après, l’atmosphère au moment de se dire au revoir était de sorte que je n’avais jamais eu la force de me tenir dans la cour et de voir comment ils se disaient au revoir. Je les laissais et je m’en allais. Mon feu frère, disait également la même chose, il ne supportait jamais voir cet instant où l’Imam disait au revoir. Car l’Imam était si affectif avec ses enfants au point que l’homme ne supportait pas voir cela. Cependant, cette affection n’avait pas la moindre influence sur ses prises de décision et ses activités.
Mémoires sur l'Imam Khomeini