La rencontre de l’amie
L’amour de la bien-aimée est le mystère le plus profond
Nous, on n’est que des humbles, habitant ta rue
Dis aux habitants du Paradis de rester avec cette négligence
Nous, on est insouciant à l’ombre de notre gracieux cyprès
On cède le tout Paradis au rival
Notre part n’étant que cette souffrance causée par l’aimée
Dis au présomptueux d’être content dans les jardins paradisiaques
Notre mystère caché serait de rencontrer l’aimée
Apporte la coupe et verse du vin ! Minaude !
Puisque ton œillade revivifie notre âme
Ces souffis bien qu’ils soient sages et pédants
Ils n’entendent point ce qu’on répète tout le temps
Les poèmes de l'Imam Khomeiny