Madame avait des règles particulières pour recevoir ses invités et il y avait beaucoup de familles qui ne les respectaient pas et après un certain de temps, les relations entre elles et madame se détériorait.
À Qom, Madame était en relation avec les familles des savants et des hauts juristes. Elle avait des règles particulières pour recevoir des invités. Son domestique ouvrait la porte aussitôt qu’elle entendait le bruit du heurtoir et escortait l’invité jusqu’aux escaliers où elle-même venait à sa rencontre. Et tout le temps elle s’asseyait avec l’invité et discutait avec lui.
Dans sa maison, la réception des invités devrait également être effectuée selon la coutume. C’est-à-dire, si c’était hiver, le thé devrait être servi en premier et un jus rafraîchissant si c’était l’été, ensuite un plat de confiseries et un autre, plus grande, de fruits. Puis, au moment du départ de l’invité, on servait un autre verre de thé ou de jus qui était connu sous nom du verre d’adieu.
A la fin de la réception, madame escortait l’invité jusqu’aux pieds des escaliers, ensuite elle demandait à ses fillesde le raccompagner jusqu’à la porte et plus tard, elle lui rendait aussi visite. Cependant, beaucoup de familles ne respectaient pas ces règles d’hospitalité. Elles ne faisaient pas attention aux règles d’accueil et de raccompagnement de l’invité. Parfois, l’invité restait seul dans la pièce pendant un moment avant que son hôte ne le rejoigne, et ces familles mettaient un temps fou pour revisiter leurs invités.
Raison pour laquelle les relations de Madame avec certaines familles se détériorait. Cependant, de toutes les femmes avec qui elle entretenait une relation, Mme Nusrat Agha, l’épouse de l’Ayatiollah Boroujerdi, qui était elle aussi très attachée aux règles d’hospitalité, était la seule avec qui elle avait le plus d’intimité.
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