Cette conférence a eu lieu en présence de Hossein Divsalar, attaché culturel iranien, Yusof Sedigh, philosophe tunisien, Mohammad Sha’bani, responsable de l’association des relations méditerranéennes, Ishida Kazuiru, chercheur japonais à l’université de Waseda, et Moussa Omar de l’association des musulmans du Japon, au centre des relations internationales de Tokyo.
Au début de ce programme, Moumni Bouba, responsable de l’organisation de cette réunion, a présenté un rapport sur les activités et le soutien des différents organismes, suivi par M.Jaafari, représentant des services culturels, qui a présenté les points de vue de l’islam sur ce sujet, et déclaré :« Les enseignements du prophète (as) étaient remplis de conseils pour la participation des gens aux affaires, ce qu’on appelle aujourd’hui, démocratie. Malheureusement, il y a des gens qui veulent détourner l’attention des textes initiaux alors que l’islam a des conseils dans les domaines politiques, sociaux, culturels et économiques qui, s’ils sont respectés, peuvent bouleverser la situation de la société. Le devoir des chercheurs est de présenter ces textes et aujourd’hui, le système politique iranien est un modèle de démocratie religieuse en accord avec les enseignements islamiques, et doté d’une volonté et d’une capacité de progrès ».
Iqna