La nuit où le coup d'état Nojeh (un mouvement militaire qui a été organisé, peu de temps après l’établissement de la République islamique d'Iran, par un certain nombre d’officiers de l'armée impériale de l'Iran et surtout les officiers impériaux de la Force aérienne, pour restaurer Bakhtiar et détruire la République islamique), a été découvert et désamorcé, toutes les autorités sont venues à Jamaran. Tout armés, nous sommes partis en montagnes. Plus tard, nous avons appris du Monsieur Hajj Ansari qu'en ce jour, ils [les autorités] avaient dit à l'Imam Khomeini : « Laissez quittez cet endroit, il est possible qu’un avion vient bombardier Jamaran ». Mais l'Imam Khomeini (Que DIEU sanctifie son noble secret) avait dit : « Mon sang n’est pas d’une autre couleur que les autres habitants du quartier Jamaran ».
Extrait du livre Quelques interprétations de la Sîra de l'Imam Khomeini (Que DIEU sanctifie son noble secret), - Volume 1, p 111.
Mémoires sur l'Imam Khomeini