il a expliqué : « Dans ces centres, nous enseignons aussi comment participer aux activités sociales et économiques. Ces écoles traditionnelles par contre, augmentent dans les villes. »
« Les nombreuses compétitions coraniques sont financées par des commerçants et non par le gouvernement qui est un gouvernement laïc bien que les études religieuses et islamiques soient tout à fait libres et sont enseignées dans les écoles, du primaire à l’université. Ces centres accueillent de plus en plus de jeunes. À l’université les cours d’arabe, de littérature arabe et de sciences islamiques sont autorisés », a-t-il dit.
Soliman Gui, responsable des documents de calligraphie de l’université de Dakar, et Jim Darami, islamologue et chercheur à l’université de Dakar, ancien étudiant de l’université d’Al Azhar, ont été invités par le Centre de la culture et des relations islamiques du 5 au 14 octobre 2017, à Téhéran pour des études sur « le rôle des intellectuels iraniens dans le commentaire coranique » et « le rôle des artistes iraniens dans le domaine de la calligraphie ».