En France lorsque cela s’avérait nécessaire, l’Imam Khomeini ne dormait pas plus de quatre heures sur vingt-quatre. Il partait parfois s’allonger à vingt-trois heures pour se reposer, et à trois heures du matin nous comprenions que le bruit que nous entendions remonter de sa chambre, provenait du calame et du papier. La charge de travail de la journée l’avait empêché de lire la traduction des journaux, et il devait être prêt à la fin de la nuit, aux heures qu’il avait lui-même fixé, à en effectuer la lecture et la synthèse. (Madame Dabbâq, p.340 et p.341)
Mémoires sur l'Imam Khomeini