Comment l’Imam Khomeiny (paix à son âme) a-t-il empêché la disparition du cinéma après la révolution ?

Comment l’Imam Khomeiny (paix à son âme) a-t-il empêché la disparition du cinéma après la révolution ?

Ce qui, après la révolution islamique, a empêché la disparition du cinéma et du processus de réalisation des films en Iran et plus tard a conduit à la restitution des infrastructures et à un boom dans le milieu de l’art et de l’industrie cinématographique, était avant toute chose les positions de l’Imam Khomeiny (paix à son âme).

La phrase historique de l’Imam où il dit, « Nous ne sommes pas contre le cinéma, mais plutôt contre la débauche », fait partie des expressions qui ont nivelé le chemin du cinéma iranien après la révolution.

En l’an 1981, au début de la révolution, une lettre a été publiée comme un document historique du cinéma iranien et tous les célèbres cinéastes de l’époque l’ont signé. Dans ce document, on a formulé la demande de la restitution du cinéma iranien sur la base des directives de l’Imam Khomeiny (paix à son âme), des conceptions de la révolution et des principes de la constitution.

Ce qui, après la révolution islamique, a empêché la disparition du cinéma et du processus de production des films en Iran et plus tard a conduit à la restitution des infrastructures et à un boom dans le domaine de cet art, de cette industrie et de ce métier, était avant toute chose les positions de l’Imam Khomeiny (paix à son âme). L’Imam qui, avait expérimenté le miracle des outils de communication moderne, du télégraphe en passant par le téléphone, la radio, la télévision, l’enregistreur vocal, et copieur des annonces, jusqu’aux haut-parleurs, et qui, avait testé leurs effets indéniables dans la communication, la circulation et la mobilisation des masses, et qui, était informé du rôle génial du cinéma en tant qu’un art sophistiqué et efficace dans cette ère nouvelle, dans un discours historique tenu dans le cimetière Behesht Zahra, a donné sa position face à la discrimination, au fanatisme et au radicalisme, d’extrémisme dès son entrée en Iran.  Il a dit : « Nous ne sommes pas contre le cinéma. La radio, la télévision et les presses sont les manifestations de la civilisation et leurs existences spécifient ce qui est nécessaire pour l’évolution de la nation ».

L’Imam Khomeiny (paix à son âme), qui connaissait qu’en stoppant la domination des films étrangers sur l’environnement cinématographique du pays un espace convenable sera fourni qui allait permettre la croissance de la production interne et que le détournement des prétextes religieux et moraux pouvait entraver l’évolution du cinéma dans le pays, a achevé les arguments lors d’une de ses rencontres avec les responsables où il s’est exprimé une fois pour toutes. L’Imam en insistant sur la production nationale des films, a dit : « Même le plus mauvais des films iraniens est meilleur que le plus extraordinaire des films étrangers ! ». L’Imam (paix à son âme) a ainsi prononcé le dernier mot. Tout le monde savait que cela ne veut pas dire que le mauvais film iranien au sens des valeurs artistiques et cinématiques est meilleur que l’extraordinaire film étranger. Bien évidemment, il voulait dire qu’il ne faut pas que le processus de la réalisation des films nations s’affaiblissent sous aucun prétexte et qu’il ne faut plus que les films étrangers envahissent de nouveau l’espace audio et visuel du pays.               

 

 

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