L’amour de l’infirmier grandit dans le Cœur d’une société qui le valorise !

Extrait du discours de Sayyd Hassan Khomeini, petit-fils de l’imam Khomeini (ra) dans la rencontre avec un groupe d’infirmier :
(à l’occasion de l’anniversaire de la dame Zaynab [sa] et de la journée de l’infirmier)

ID: 72693 | Date: 2021/12/11
Une société saine et humaine est celle dans laquelle il y a de l’affection collective, de la gentillesse et de l’amour et où les gens ont de la compassion les uns pour les autres. Dans une telle société, les infirmiers font partie naturellement d’un des cercles les plus élevés qui créent et consolident cette affection et peuvent la transmettre aux autres.


L’Ayatollah Sayyd Hassan Khomeini dans sa rencontre avec un groupe d’infirmiers à l’occasion de la journée de l’infirmier qui s’est tenu au sanctuaire de l’imam Khomeini (ra), a dit :


« Nous devons témoigner notre reconnaissance aux infirmiers, surtout en cette période de la Corona où tout le monde a abandonné et isolé les malades. Le groupe qui se tient à l’avant-garde de cette lutte contre le Corona est celui des médecins et des infirmiers. Raison pour laquelle le terme “les défenseurs de la santé” les a été attribué. Ces efforts sont hautement louables et resteront certainement dans les mémoires. »


Le petit-fils de l’imam Khomeini, en déclarant qu’il faudrait reconnaitre à juste titre que la communauté médicale, surtout les infirmiers, a traversé avec bravoure une épreuve, a ajouté :


« Ce jour semblable à la fin des temps où tout le monde afin de se mettre à l’abri de la Corona virus ne pensait qu’à soi-même, ces personnes nobles se sont levées et j’ai personnellement vu de près leur courage, leur détermination et leurs efforts. »


Il continua :


« Un pays qui investit dans la production, l’enseignement et éducation doit pouvoir maintenir un taux élevé de sa communauté infirmière comme d’autres professions ou spécialités à son service et pour cela, un champ nécessaire doit être fourni, et cela nécessite les efforts conjoints du gouvernement et de l’assemblée. Pourquoi les infirmiers ne peuvent-ils pas servir dans le pays tout comme les élites ?! Ici, c’est leur pays et non celui de quelqu’un d’autre. »


Il a expliqué :


« Ce qui fait d’une société une vraie société n’est pas la bonté unilatérale ou à sens unique, mais la bonté et la gentillesse doivent être multilatérales et à double sens. C’est là que l’on sent monter l’affection portée aux infirmiers dans le cœur d’une société qui les valorise. D’autre part, une société où les infirmiers ont une grande compassion fera aussi preuve d’une grande compassion. Si nous voulons être en bonne santé, nous devons commencer par nous-mêmes. L’idée que quelqu’un nous aime et que nous n’en aimions pas un autre est vaine. Un corps sain est un corps dans lequel si l’œil fait mal, tous les organes se sentiront mal et travailleront ensemble pour le bien de l’œil. »  


Le petit-fils de l’imam ajouta :


« Une société saine et humaine est une société dans laquelle il existe de l’affection, de la gentillesse et de l’amour et où il règne une affection réciproque. Dans une telle société, les infirmiers font naturellement partie d’un des cercles les plus élevés qui créent et consolident cette affection et la transmettent aux autres. »