La formation du Corps des Gardiens de la Révolution Islamique

C’était seulement quelques mois après la victoire de la révolution islamique en février 1979 que l'Imam Khomeini (Que DIEU sanctifie son noble secret) a officiellement promulgué au 22 avril 1979 un décret ordonnant la formation du Corps des Gardiens de la Révolution Islamique.

ID: 53151 | Date: 2018/04/22
Le but de la formation du Corps des Gardiens de la Révolution Islamique était de sauvegarder la révolution et ses accomplissements, et de réaliser les idéaux divins et de la propagation de la dominance de la loi de Dieu.


L'Imam Khomeini conseillé toujours ainsi les gardiens de la révolution :

« Vous les Gardiens qui avez maintenant du pouvoir ! si vous faites quelque chose au contraire de votre devoir du gardien, vous n'êtes plus les Gardiens de l'Islam et de la révolution, mais les gardiens de vos propres passionsvous agirieselon vos propres passionsvous agiriez selon l'inspiration du Satan » (SAHIFEH-YE NOUR, vol. 17, p. 13)


« Les gardiens qui sont les êtres les plus chers du pays doivent penser à maintenirleur dignité et leur popularité. Si cette dernière n’est pas maintenue, ils pourriront, ils seront détruits, et cela dépend à ce qu’ils optent pour l’islam comme la méthodologie ».


Le Gardien de l’islam, doit être islamique lui-même (SAHIFEH-YE NOUR,volume 12, page 191).


« Conseillez toujours les Corps des Gardiens de se considérer un combattant au service du peuple, pas un combattant qui ne rend pas le serviceAprès la maintenance des différents aspects islamiques, la cause la plus importante dans cette république consiste à éviter des divergences entre le Corps des Gardiens et le peuple ou entre le Corps des Gardiens et l'armée, ce qui, Dieu merci, n'est pas le cas aujourd'hui.
Un musulman doit se comporter avec modestie et se considérer plus humble que les autres. Considérez le pays de vous-même et les démunis comme votre frère aîné. Les gens ne se découragent pas du Corps des GardiensIl faut que le Corps des Gardiens reste populaire et la solution c’est d'être patient avec le peuple » (SAHIFEH-YE NOUR, volume 18, p 62).